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Super Best Friends : Steve O'Connor - CRIMINEL [Validée]
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Sam 26 Mai - 0:28
Steve O’Connor
Race : Humain
Sexe : Male
Âge : 28 ans
Anniversaire : 19/05
Nationalité : Américain
Classe sociale : Moyenne
Groupe : Criminel
Métier : Construction
Sexualité : Hétéro
Loisirs : La vie à 600 lbs.
Pseudo sur Kaibyou : @Black_Smith
Particularité : Aime le drama.
Avatar : Xanxus de Reborn


Mental

Steve est un homme sérieux qui aime paraître fiable et sans préjudice alors qu’en fait, il juge énormément les gens qu’il rencontre. En effet, Steve peut se montrer assez hypocrite. Il peut très bien vous sourire tout en vous traitant de gros porc intérieurement. Cependant, ses sourires sont si chaleureux que personne ne remettrait ses pensées en doute, car Steve est très charismatique lorsqu’il le veut. Il fait également preuve de beaucoup d'audace et ne recule jamais devant une situation difficile quitte à y laisser quelques plumes. Même s’il se montre parfois imprudent, il est solide et peut encaisser les coups.
Steve est très rationnel, quoiqu’il lui arrive souvent de laisser son instinct l’emporter en cas de panique. Outre ce fait, il se laisse rarement influencer par ses émotions, car il ressent peu d’empathie envers les autres. Pour lui, les gens ne sont que des moyens d’arriver à ses fins. Des jouets. Au diable toutes ces conneries d’actes moraux, il n’agit que si les résultats lui sont bénéfiques, c'est-à-dire s'il en retire un quelconque plaisir, car tout le monde sait que Steve est un vrai adorateur de situations dramatiques sorties tout droit d'un téléroman. Il n’est pas rare de le voir créer intentionnellement du drama entre deux personnes.
Physique

Steve a l’air assez sympathique au premier abord. Il arbore un sourire chaleureux la plupart du temps pour cacher ses pensées peu flatteuses. Il fait 1m80 et pèse environ 85 kilos, car il est musclé. Ses épaules sont larges et solides et ses mains sont grandes et rugueuses en raison de la corne s’y étant formée. Ses jambes sont également longues et musclées. Bref, il a le corps d’un travailleur assidu forgé par des années d’expérience en construction. Sa peau est assez pâle en général, car il ne bronze que très peu pour une raison qu’il ignore. Ses yeux sont brun rougeâtre et ses cheveux, souvent en bataille, sont noir. On le reconnait par ses nombreuses cicatrices dont la majorité viennent d’un accident de la route lorsqu’il avait 23 ans et quelques autres de son travail. Il porte souvent des vêtements décontractés, mais propres. Sa démarche confiante et sa voix grave inspirent le respect chez les autres.

Black Smith
Nom du Pouvoir : Forgeron
Nature du Pouvoir : Don et artefact
Costume : Vêtements normaux, donc souvent chemise et cravate décontractées. Qui a dit qu’il fallait un costume pour faire le mal ?
Description :
Don : Forgeron
Steve peut modifier la forme de n’importe quel métal qui se trouve dans un rayon de 8 mètres, d’où son surnom de Black Smith. Le don de Steve s’applique à tous les métaux et les appareils contenant du métal. Il ne suffit au jeune homme que d’imaginer la forme qu’il veut et le métal suivra sa pensée. Cependant, il arrive à Steve de casser le métal lorsqu’il surestime sa malléabilité.

Artefact : Quantum
Quantum est une boucle d’oreille avec une plume qui permet à Steve de dilater le temps. Ainsi, il peut ralentir ou accélérer le temps comme il le veut. Cependant, il ne peut le faire que sur 15 secondes (temps non-dilaté) et son pouvoir prend 10 minutes à se recharger.


Now


Charte des Super Best Friends
- Là où tu poseras pied, tu sèmeras le mal.
- Tu ne dévoileras point ton vrai nom et ceux de tes camarades lors de tes méfaits.
- Si l'on te prend sur le fait, tu nieras toute accusation.
- Tu porteras toujours assistance à un frère en danger.
- Tu ne respecteras point les forces de l'ordre.
- Les aînés et les enfants ne seront pas épargnés.
- Tu satisferas tous tes désirs.
- Tu ne respecteras point la liberté d'autrui.
- Tu entraîneras le peuple dans les tréfonds de la corruption.
- Les Super Best Friends seront unis jusqu'à la mort.

Comme vous l’avez compris, Steve compte bien faire le mal rendu à Tokyo. Après avoir rencontré le reste du groupe, il se trouvera un petit appartement modeste (voire merdique) ainsi qu’un autre emploi dans la construction qui l’amènera partout, des rues de la ville jusqu’aux édifices gouvernementaux en passant par les prisons nécessitant des réparations.

Histoire
Comment je suis arrivé jusqu’ici, à Tokyo ? C’est une longue histoire qui remonte probablement aux quelques jours suivant ma naissance. Oui, oui, je sais ce que vous vous dites ; l’histoire de chacun commence à sa naissance, mais la mienne a réellement pris un gros tournant peu après mon arrivée dans ce monde.

Comme pour tous, mon pouvoir sur le métal ne s’était manifesté qu’après l’apparition de la faille alors il y avait très peu d’explications raisonnables sur le choix qu’avait fait l’homme qui allait devenir mon père. Encore à ce jour, j’ignorais pourquoi j’avais été choisi. Huit ans et des poussières avant que la faille n’apparaisse, ma mère biologique avait accouché de moi prématurément. J’avais passé une semaine dans un incubateur, là où le personnel médical était censé me surveiller… En théorie. En pratique, la surveillance n’a pas dû être très stricte, car on m’a kidnappé. Oui, kidnappé. Par qui ? Un homme dont la sœur venait d’accoucher. Cet homme était lui-même marié, mais n’avait jamais pu avoir d’enfants avec sa femme stérile… Alors il en kidnappait. De toute façon, il n’en était pas à son premier crime, donc s’approprier l’enfant d’un autre, ce n’était pas grand-chose. En fait, c’était peut-être mieux comme cela, car cet homme était un criminel et qu’il était mieux que rien ne puisse relier ses fils adoptifs à lui si l’un d’eux se faisait prendre plus tard. Hé oui, il comptait bien m’initier aux activités criminelles comme il l’avait fait pour mes deux frères aînés et comme il le ferait pour mon petit frère quelques années après.

Les huit premières années de ma vie s’étaient résumées par de très nombreux entrainements pour améliorer mon cardio et ma vitesse mélangés avec mes journées d’école et ce qu’on pouvait appeler du renforcement mental pour m’apprendre à tuer sans remord. Certains appelaient cela du brain wash, mais moi j’étais bien content d’avoir suivi ce renforcement, car à huit ans, j’avais tué pour la toute première fois. Malgré le fait que c’eut été un malheureux incident, n’importe quel enfant en serait sorti avec un traumatisme. Moi, au contraire, je n’avais rien ressenti face à la mort de l’homme mis à part de l’excitation d’avoir soudainement un pouvoir comme dans les comics. Je n’avais pas même l’ombre d’un remord envers ce sans abri qui m’avait demandé de l’argent alors que je rangeais mon petit porte-monnaie dans mes poches. Il avait choisi d’insister lorsque je lui avais répondu non et, sans même m’en rendre compte, j’étais tellement irrité qu’un panneau d’arrêt s’était étiré en une longue lance pour aller empaler l’homme dans la poitrine sans même quitter sa base solidement enfoncée dans le sol.

J’ai vite figuré l’étendue de mon pouvoir et quand j’en avais parlé à mes parents, on m’avait appris à utiliser ce pouvoir pour défaire les menottes qu’on leur passait autour des poignets lors qu’on les attrapait et on m’avait enseigné à créer des trous dans les voitures pour permettre à ma famille de s’échapper, car oui, j’étais tombé dans une famille de criminels un peu maladroits qui se faisaient parfois attraper par les ‘’super-héros’’ de la place. C’était bien facile quand personne n’avait de pouvoir, mais les temps avaient changé et nous nous étions adaptés. Dans cette famille, on m’avait fait goûter à la liberté pure, si bien que lorsque ma mère m’avait raconté que mon père m’avait en fait kidnappé à la naissance, je leur en fut reconnaissant. Honnêtement, vu les parents qui m’avaient élevé, j’étais loin d’être surpris par cette révélation.

Tous les jours, c’était l’école, les entraînements physiques et ensuite les mandats. Mon père avait sa propre petite agence d’hommes à tout faire. Au regard des autorités, c’était un petit commerce bien légal où les employés faisaient les tâches qu’on leur assignait pour de l’argent. En réalité, pendant qu’un employé allait tondre le gazon de l’employeur, on se chargeait de la réelle mission, soit d’éliminer des données, des preuves matérielles ou encore des personnes. Mes parents avaient des comptes de banque un peu partout dans les paradis fiscaux. Nous vivions comme une famille de classe moyenne en apparence, mais c’était le grand luxe dans la maison. Ainsi, ma vie fut constituée d’un juste milieu entre l’école, le sport et le commerce de la famille. Même après avoir terminé le lycée pour me trouver un emploi en construction, j’ai continué les opérations dans le business familial. C’était rendu une habitude, tout simplement.  Mon père avait été si fier de moi que, le jour de mes 21 ans, il avait décidé de m’offrir une boucle d'oreille dont le détenteur précédent avait été tué lors d’un mandat. Cela signifiait que j'étais enfin un vrai criminel de la famille. Au fil du temps, cette boucle d'oreille avait pris une valeur sentimentale si puissante qu'elle devientrait un artefact sans même que je m'en rende compte. J’étais bien dans cette petite vie calme et routinière. Je n’aurais rien changé à ma vie, mais le destin en a voulu autrement.

Je venais tout juste d’avoir 25 ans. Je me rendais, comme à chaque jour, chez une cible à assassiner. Cette fois-ci, c’était pauvre adolescente de 14 ans qui s’était probablement trouvée à la mauvaise place au mauvais moment. Vu son âge, elle était certainement aussi innocente qu’un bébé naissant, mais ce n’était pas cela qui allait m’empêcher de prendre plaisir à jouer avec elle avant de la tuer. On m’avait dit de la faire souffrir et c’était bien ce que je comptais faire. En soi, tuer quelqu’un n’avait rien de satisfaisant. Le plaisir venait des derniers instants de vie de la victime, lorsqu’elle comprenait que pleurer et supplier ne servait à rien. On lisait tout un mélange d’émotions sur leur visage. Certains changeait même leur attitude drastiquement et se mettaient à m’insulter et me provoquer. Je tirais un réel plaisir de ces réactions délectables qui me prouvaient à chaque fois que la bonté et la gentillesse n’existait que dans nos rêves.

Bref, j’étais en route vers la ville de la demoiselle que j’allais tuer dans quelques minutes à peine. Sa ville se trouvait à une heure de route de la mienne alors pas besoin de dire que j’étais un peu pressé de finir le travail et de retourner chez moi. J’étais en train de rouler beaucoup plus vite que la limite de vitesse quand je perdis contrôle de mon véhicule dans un virage étroit. La voiture s’est écrasée contre un arbre et a pris feu. J’avais tenté en vain d’utiliser Quantum pour me sortir de là rapidement. J’aimerais bien décrire la scène avec plus de précision, mais je n’ai d’autres souvenirs de ce qui s’est passé que d’éparses moments de lucidité et ce qu’on m’a raconté à mon réveil. Tout ce que je sais, c’est que le moteur s’était replié sur moi, me cassant quelques os dans les jambes ainsi que des côtes au passage, et que les flammes étaient si près de moi que je cru y entrevoir le diable qui me guettait.

Quand je me suis réveillé à l’hôpital, ils m’ont dit que j’avais déjoué la mort, mais je n’en croyais pas un mot. Je n’avais pas déjoué la mort. À ce point-ci, j’étais seulement devenu si corrompu que même le diable n’avait pas voulu de moi. J’ai eu le fémur cassé, des fractures ouvertes aux côtes, un poumon perforé et une solide commotion cérébrale en plus de coupures et de brûlures un peu partout sur mon corps. En gros, beaucoup d’opportunités de mourir suite à des complications engendrées par ce genre de blessures. Je suis resté à l’hôpital deux semaines avant de retourner à la maison de mes parents pour terminer ma convalescence, car il n’y avait personne d’autre que moi dans mon petit appartement. Pendant les trois ou quatre mois qui ont suivi, j’ai dû faire des exercices de physiothérapie le plus souvent possible pour réapprendre à marcher correctement. Les exercices ont bien porté fruit, car 8 mois plus tard, je faisais mon travail avec la même aise qu’avant mon accident. Évidemment, ça avait pris du temps et beaucoup d’effort, mais ça en valait la peine.

Ma convalescence avait beaucoup affecté mon humeur. Moi qui était incapable de rester en place, j’étais très malheureux après seulement quelques jours d’immobilité et je savais que je devrais attendre environ trois mois avant de reprendre l’activité physique exigeante. Je me faisais chier toute la journée et des fois je pensais même ignorer les conseils du médecin et retourner au travail. Je n’avais pas pris longtemps avant de m’aventurer sur Torr. Oui, Torr, ma famille avait accès au dark web depuis aussi loin dont je me souvenais. Je m’étais déjà aventuré sur ce navigateur depuis un bon moment alors je savais comment chercher les sites. Je suis bien vite tombé sur Bloodyvirgin666.onion, une red room particulièrement abordable comparée aux autres dont l’administrateur se présentait sous le pseudonyme @THE_Tank. Je me suis reconnecté sur la room pendant les semaines qui ont suivi, car The Tank offrait un excellent spectacle, selon moi, et je n’étais apparemment pas le seul à penser ainsi, puisqu’on était une dizaine à être connectés à chaque fois. Au fil des semaines, je remarquai que quatre noms particuliers revenaient souvent ; @THE_Tank, l’administrateur, @Sam, @I_See_You et @Ginger_Bread. Nous nous étions vite liés d’amitié et au bout d’un moment, nous nous parlions régulièrement sur un group chat Skype qu’on avait nommé les Super Best Friends alors qu’on était tous un peu saouls. C’est environ trois ans plus tard, lors d’un coup de tête que quelqu’un proposa qu’on se rencontre, ce que tout le monde approuva.

Le tout se détermina avec un lancer de dard par notre russe préféré, Thomas aka THE_Tank, lors d’une conversation Skype. Après quelques coups ratés, la décision tomba sur le Japon, notamment Tokyo, puisqu’il y avait plus d’attractions et de gens. C’est ce qui nous amena finalement au Japon.

Derrière l’écran

Pseudo : TheHappyWavePacket
Fiche joueur : Nope ‘^’
Commentaire : Deux choses qu’il faut vraiment améliorer :
Le règlement est beaucoup trop long pour ce qu’il veut réellement dire. Lire 4/5 lignes d’un texte qui peut se résumer par « La politesse est de mise », c’est extrêmement douloureux.
Les avatars sur la fiche sont de 190x350 et 200x340 et il nous faut 250x350 pour l’avatar du forum. Une taille standard pour tout serait mieux.
Sinon, j’aime le contexte et le design. Bon travail. c:

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Yoshino Tokugawa
Super Best Friends : Steve O'Connor - CRIMINEL [Validée] Tumblr_og32zrHvMO1vj3zbeo1_500
Grade : D
Niveau : 1
Expérience : 70
Yoshino Tokugawa
Gardien



Sam 26 Mai - 17:39
Bonjour à toi !

Seconde fiche des SBF.
Super Best Friends : Steve O'Connor - CRIMINEL [Validée] 1890970187

Pour te la faire rapide, j'aime bien ta fiche car elle est dans le même genre que celle de Thomas. Petite mention spéciale pour le pouvoir, que j'adore. Un pouvoir très simple et pourtant super bien trouvé (et le nom du pouvoir déchire, le pseudonyme aussi, soulignons-le). Je t'ai trouvé très créatif sur la fin, le fait que l'accident soit la cause de la présence de Steve sur internet et, de fil en aiguille, que ce soit la convalescence qui lui ai permis de rencontrer les autres membres de la SBF.

Ce qui m'empêche de te valider c'est juste ceci :

Citation :
Mon père avait été si fier de moi que, le jour de mes 21 ans, il avait décidé de m’offrir un artefact dont le détenteur précédent avait été tué lors d’un mandat. J’étais bien dans cette petite vie calme et routinière.

J'ai un petit soucis ici, car un artefact ne possède qu'un utilisateur et c'est l'objet qui le choisi. Sans le possesseur destiné à l'artefact, c'est ni plus, ni moins, qu'une relique.

=> https://untildawn.forumactif.fr/t29-annexes-pouvoirs-et-artefacts

Bien évidemment, tu peux simplement dire que le père donne un simple objet (de collection, avec une valeur sentimentale ou que-sais-je) et qu'il s'est avéré, coup du sort, que c'était l'artefact destiné à Stevy (oui, Stevy).

Dès que ça sera éditer, fais moi signe. La validation pourra suivre.

Concernant le règlement, je l'aime bien de la sorte. Après, il doit subir quelques changements le mois prochain, je verrais au passage pour rassembler des points, mais je n'irais pas jusqu'à faire une version trop soft non plus. Ta remarque est prise en compte, j'essayerais de faire un compromis !
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