Son intégration à la classe B ne fait pas plaisir à tout le monde, elle est regardée comme la pauvre de service, au vu de ses origines pauvres, et de son statut d’étudiante boursière. Son mérite est loin d’être reconnu par tout le monde, et elle se consacre presque entièrement à ses études, pour démontrer qu’elle peut de loin dépasser les gosses de riches, les « élites » de sa classe. Sa volonté est de fer.

Être boursière au Japon ne lui suffit pas pour mener une vie décente, surtout face aux élites qui se trouvent dans les classes A et B. Elle s’est donc mise en quête d’un petit boulot avant le début de sa première année à l’Académie, et qui était assez désespéré pour accepter à temps partiel une fille sans qualification ? Saul Iwazaki, l’unique, le seul. Elle travaille donc avec lui – même si elle a d’abord eu très peur de lui, dans la pâtisserie The Lussekatt, et met à profit sa gentillesse naturelle pour faire tourner la boutique comme jamais.

Elle passe ses heures libres à travailler, à lire ou à se promener, elle n’aime pas sortir avec les gens, ou occasionnellement, parce qu’elle doit aider sa famille à subsister, et n’a donc que très peu d’argent pour elle.